Développement durable 1

Nous avons mis en place des programmes de tri sélectif et de recyclage afin de réduire la quantité de déchets envoyés à l’enfouissement. Grâce à ces initiatives, nous avons significativement augmenté notre taux de recyclage, contribuant ainsi à la préservation des ressources naturelles.

Des actions simples telles que l’installation d’éclairage LED et la sensibilisation des employés à la réduction de la consommation d’énergie ont porté leurs fruits, permettant à l’hôpital de réduire son empreinte carbone. En mettant en place des solutions d’efficacité énergétique, nous avons pu identifier et éliminer les sources de gaspillage, contribuant ainsi à un usage plus responsable de nos ressources.

Nous privilégions désormais les fournisseurs et les produits respectueux de l’environnement, tout en veillant à maintenir la qualité et la sécurité des produits médicaux et des fournitures nécessaires à nos activités. Cette approche favorise une économie plus durable et éthique.

Nous attachons une grande importance à sensibiliser notre personnel aux enjeux environnementaux et à promouvoir des comportements plus durables au sein de l’hôpital. En début d’année, nous avons signé la Charte d’engagement en faveur du covoiturage des salariés auprès de l’ADEME, agence de la transition écologique. Et nous avons rejoint le réseau Roul’en Meuse afin de proposer Karos aux professionnels du Centre Hospitalier, une appli de covoiturage simple et efficace !

• Les bouteilles en plastique, une source majeure de pollution
Chaque jour en France, environ 25 millions de bouteilles en plastique sont consommées. Malgré des taux de recyclage en progression, une grande partie de ces bouteilles finit encore en décharge, incinérées ou dans l’environnement, notamment dans les océans.

• Les conséquences environnementales
Les déchets plastiques ont des répercussions néfastes sur l’environnement. Ils mettent des centaines d’années à se décomposer et libèrent des microplastiques dans les écosystèmes, polluant ainsi les océans, l’air, les sols et menaçant la faune et la flore.

• L’altération de la qualité de l’eau par des microplastiques
Les bouteilles en plastique (PET) peuvent altérer la qualité de l’eau qu’elles contiennent en libérant des microplastiques, qui perturbent les systèmes cardiovasculaire, rénal, reproductif, respiratoire, …, hormonal ou sont toxiques à des niveaux élevés.

• La production de plastique et les émissions de CO₂
La fabrication de bouteilles en plastique est énergivore et repose principalement sur les combustibles fossiles. Chaque bouteille d’eau en plastique de 1 litre émet environ 100 grammes de CO₂. Ce processus comprend l’extraction de pétrole, le raffinage, la production de plastique et la mise en forme des bouteilles.

• Le transport et la logistique
Une fois produites, les bouteilles en plastique doivent être transportées des usines aux points de vente, puis vers l’hôpital, augmentant ainsi les émissions de CO₂ dues au carburant utilisé pour le transport par camions.

• Des normes strictes de qualité de l’eau
L’eau du robinet en France est soumise à une réglementation rigoureuse définie par le Code de la Santé Publique et les directives européennes. L’ARS et l’opérateur des réseaux d’eau réalisent des contrôles réguliers pour garantir que l’eau respecte les nombreux paramètres physico-chimiques et microbiologiques. L’eau du robinet est en France l’un des aliments les plus contrôlés.

• Des mesures spécifiques dans les hôpitaux
Le CHVSM dispose d’un système de distribution d’eau interne. Celui-ci est régulièrement entretenu et vérifié par différents services ou prestataires de l’établissement (services techniques, prestataires de l’eau, service d’hygiène, service de désinfection). Le CHVSM réalise une campagne de contrôle de la potabilité de l’eau à rythme défini, à minima une fois par an. Les résultats d’analyse de la potabilité de l’eau par la commune ne dispensent pas l’établissement de cette démarche de prévention. Le service d’hygiène vérifie le réseau par des relevés de température d’eau froide et fait entretenir les points terminaux pour limiter toute contamination microbienne. Le service d’hygiène vérifie également régulièrement les fontaines à eau, pour garantir en tous points de distribution, une eau de bonne qualité. La réalisation des analyses microbiologiques de l’eau destinée à être consommée est une action de prévention réglementairement attendue dans le cadre de la politique de prévention et de maîtrise du risque infectieux.

• Un gobelet recyclé et recyclable offert à chaque professionnel qui en fait la demande
Le CHVSM met à disposition de chaque agent un gobelet réutilisable fabriqué en Europe à partir de matière recyclée et recyclable. Celui-ci est à retirer auprès de l’encadrement de proximité.

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